Catégorie : Nature

  • Esiweni Luxury Safari Lodge

    Esiweni Luxury Safari Lodge

    Bienvenue dans la réserve privée de Nambiti, en Afrique du Sud. Esiweni Luxury Safari Lodge est une destination confidentielle qui conjugue élégance, nature sauvage et immersion totale dans l’univers du safari. Ce Relais & Châteaux surplombe la spectaculaire vallée du Sunday Riverne. Il ne compte que cinq suites luxueuses avec terrasse privée, offrant une vue imprenable sur la savane et ses habitants : éléphants, lions, girafes, zèbres… Dans un silence absolu, les hôtes assistent dès l’aube à des scènes de vie animale uniques. Chaque suite allie confort moderne, décoration africaine raffinée et équipements haut de gamme. La recette idéale pour un séjour placé sous le signe du bien-être et de l’exception.

    Un Relais & Châteaux engagé pour un tourisme durable et authentique

    Game Drive Esiweni

    Le Lodge incarne une vision engagée du tourisme durable en Afrique du Sud. C’est une famille française passionnée d’Afrique australe qui l’a fondé. Des produits locaux mêlés à des inspirations françaises caractérisent la cuisine proposée. Le tout est servi face à la savane dans une atmosphère chaleureuse et intimiste. Des rangers expérimentés et respectueux de l’environnement guident les safaris. On observe alors les Big Five dans des conditions privilégiées. Le lodge s’engage activement dans la préservation de la faune, la gestion écologique des ressources et le soutien aux communautés locales. Il valorise aussi l’artisanat et les traditions culturelles de la région zouloue.

    La réserve de Nambiti : un écrin naturel préservé, accessible toute l’année

    Panoramic view

    À seulement 3h30 de route de Johannesburg et Durban, Esiweni Luxury Safari Lodge est une retraite idéale pour un voyage de noces, un séjour en couple ou une aventure familiale. Il est ouvert toute l’année et offre deux saisons riches en émotions : l’hiver austral (de mai à août) est parfait pour observer les animaux regroupés autour des points d’eau. En été (de novembre à mars) la nature s’épanouit sous des ciels orageux spectaculaires. Avec son service personnalisé, son cadre enchanteur et son immersion dans l’Afrique authentique, Esiweni est l’un des meilleurs lodges de luxe d’Afrique du Sud pour vivre un safari haut de gamme inoubliable.

    www.esiwenilodge.com

  • Singapour, une ville dans la nature

    Singapour, une ville dans la nature

    En matière de villes vertes, celle-ci est un modèle. Aucune autre métropole au monde n’est aussi imprégnée de nature. À Singapour la verdure infuse partout, même dans l’urbanisme, l’architecture ou la gastronomie. C’est un motif suffisant pour un city-trip au vert, dans cette ville-état futuriste qui fête les 60 ans de son indépendance en 2025, et qui n’a jamais laissé tomber son ancrage dans la terre.

    ​La nature qui grimpe aux façades

    Parkroyal hotel SingapourDans l’effervescence urbaine de cette ville-monde, Il y a du vert à tous les étages. Située au coeur de l’Asie, tout près de l’Equateur, Singapour occupe un territoire d’à peine 730km2. Aucune autre métropole de son envergure n’a une telle concentration de verdure. Et ici, la verdure ne se contente pas d’occuper que des parcs. Elle s’élève, s’étire vers le haut et revêt même les gratte-ciels d’habits luxuriants. L’architecture biophilique est un concept largement appliqué, une réalité intégrée au quotidien des singapouriens. Ils sont quasiment six millions à évoluer dans un décor hybride dans lequel le métal et le végétal s’entremêlent.  Ils créent un environnement urbain unique. Des bâtiments emblématiques comme l’hôtel PARKROYAL COLLECTION Pickering ou le centre d’affaires CapitaSpring dévoilent d’incroyables façades végétalisées. Fougères, orchidées et palmiers rivalisent avec le béton et l’acier. Cette fusion entre nature et urbanisme n’est pas juste une question d’esthétique. Elle joue un rôle essentiel dans la régulation thermique, mais aussi la qualité de l’air, offrant aux citadins une oasis verte au cœur de la modernité.

    ​Une biodiversité préservée

    southern ridges SingapourLoin des clichés de ces mégalopoles hérissées de hautes tours, Singapour déploie un impressionnant réseau de 7800 hectares d’espaces verts. Ils forment un véritable corridor écologique. Le territoire compte quatre réserves naturelles protégées, 380 kilomètres de sentiers, et une flopée d’espèces de plantes, d’oiseaux, de reptiles ou de papillons. De la Bukit Timah Nature Reserve où les arbres centenaires abritent singes et calaos, au MacRitchie Reservoir et sa promenade suspendue dans la canopée, chaque bulle de verdure est un petit microcosme de biodiversité. Et puis Singapour protège aussi son littoral parsemé d’îles encore sauvages. C’est le cas de Pulau Ubin. Sur cette île, le temps semble suspendu entre lacs, forêts, mangroves et maisons sur pilotis. En intégrant la nature dans son expansion, la cité-État offre une expérience rare : celle de l’aventure sauvage, sans quitter la ville.

    ​ De la ferme urbaine à l’assiette

    À Singapour, la révolution verte ne se limite pas aux parcs. Elle s’invite aussi à table. Dans une ville où l’espace est une ressource précieuse, l’agriculture urbaine connaît un véritable essor. Sur les toits des immeubles, des fermes hydroponiques comme ComCrop fournissent légumes et herbes fraîches aux restaurants. Elles permettent donc de réduire l’empreinte carbone des circuits alimentaires. Des établissements comme Open Farm Community vantent cette production locale en servant des plats « de la ferme à la table ». Ils mettant à l’honneur des ingrédients cultivés en pleine ville. Ce modèle d’alimentation durable illustre une nouvelle philosophie urbaine dans laquelle la nature ne se contemple pas seulement, elle se savoure.

    À Singapour, la ville et la nature ne sont pas opposées. Elles fusionnent pour offrir un équilibre inédit. L’innovation et l’écologie ne font alors plus qu’un. Voilà un étonnant mariage, qui invite à redécouvrir cette métropole asiatique autrement, entre jungle et gratte-ciels, modernité et racines sauvages.

    Lucas Lahargoue.