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Catégorie : Nouvelle-Aquitaine
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FirstName Bordeaux
Le FirstName Bordeaux a ouvert ses portes en ce début d’année, dans le quartier de Meriadeck. Voisin du Musée des Arts décoratifs et du Design et de l’Opéra National, ce nouvel établissement bordelais est la première adresse du groupe FirstName. Une marque hôtelière toute jeune donc, dont le mot d’ordre est « We are the the FEEL GOOD hotel brand« . « Nous sommes la marque d’hôtel où l’on se sent bien ». Leur secret ? Choyer le client sans oublier l’environnement et le bien-être au travail. FirstName promet des adresses « vibrantes par nature », où l’on vient se rencontrer dans une ambiance authentique et chaleureuse.
Un hôtel comme un hymne à la vie
On pénètre le FirstName Bordeaux par un sas de décompression. L’hôtel a été imaginé comme un cocon de vie en partie végétalisé. C’est le duo d’architectes / décorateurs Marc Hertrich et Nicolas Adnet qui a décoré l’établissement. Ensemble, ils ont créé un hôtel pas comme les autres, « pensé comme un lieu d’expériences et de connexions ». Une nouvelle adresse à l’image de Bordeaux : une ville où culture et traditions se mêlent, entre ville et nature, terre et mer. C’est donc dans un espace multiple, emplit de musique « feel good« , que sont accueillis les clients du FirstName Bordeaux. Au cœur du lobby, un nounours géant donne le ton : ici, on ne se prend pas la tête, on prend juste du plaisir.
Pour commencer, au restaurant, on découvre le meilleur de la gastronomie du Sud-Ouest sublimé par le chef Cédric Béchade. Ensuite il ya le bar, où l’on profite de DJ set en live, tous les week-end. En cas de réunions importantes, des « meeting rooms » sont mis à votre dispositions… Et dans les chambres et les suites du FirstName Bordeaux, on décompresse enfin. Ces dernières sont au nombre de 147. Toutes offrent un décor éco-conçu ou recyclé qui invite à la détente. Et l’on ne vous parle même pas des terrasses et jacuzzi dont sont équipées les suites… Cerise sur le gâteau ? Les cosmétiques sont véganes, signés Oceopin, une marque emblématique du littoral atlantique.
© Jérome Galland 
© Jérome Galland 
© Jérome Galland 
© Jérome Galland 
© Cédric Bechade 
© Jérome Galland 
© Yoann Stoeckel 
© Jérome Galland 
© Jérome Galland Plus d’informations sur www.firstname.com.
Photo de Une : Chambre Cadette © Jerome Galland
Clotilde BOUDET -
La Folie Boulart: le secret le mieux gardé de Biarritz
C’est le secret le mieux gardé de la côte basque. En plein coeur de Biarritz, la Folie Boulart est un mystère pour les biarrots même. Charles et Marthe Boulart, couple d’industriels landais, décident d’acheter un terrain près de l’Océan en 1872, et d’y faire construire cette merveille. Le château Boulart est dessiné par Joseph Louis Duc. L’architecte déjà connu pour ses travaux à Paris accepte le seul projet privé de sa carrière et imagine la demeure « de folie » voulue par Charles pour son épouse. Depuis la ruelle qui y mène on n’imagine pas le faste de cette maison rénovée pendant cinq ans avant d’avoir ouvert ses portes sous la forme d’un hôtel très particulier. Le promoteur immobilier Pierre Delalonde est à l’origine de cette restauration complète. En tant que nouveau propriétaire, il a voulu rendre son lustre à chaque portion de cette folie architecturale trop longtemps tombée dans l’oubli. La maison s’articule autour d’un beau et haut vestibule soutenu par des colonnes de marbre. De part et d’autre, deux salons sont orientés sur le parc à l’arrière, ou sur le phare et la mer que l’on distingue au loin à l’avant. Partout, le mobilier provient de salles de vente. Yves Badetz, conservateur de musée et spécialiste du Second Empire s’est chargé de rassembler ces pièces de collection pour habiller chaque pièce. Le billard des frères Lumière qui trône dans l’un des salons est certainement sa plus belle trouvaille. Au dessus, le château compte huit chambres et suites. La notre est celle du phare, toute drapée de bleu ciel et orientée vers le large. La Coco est un hommage à Coco Chanel avec son atmosphère chaleureuse et mansardée. Quant à la suite Edouard VII, c’est la plus grande, avec son lit à baldaquin et son balcon filant permettant d’admirer une bonne partie de la ville. Pour le moment, la Folie Boulart se loue… dans son intégralité seulement, et pour un séjour minimum de deux nuits. Nombreux service sont inclus dont la présence d’un chef, une conciergerie, une cave à vin, une piscine, un hammam, un sauna, et même la possibilité de profiter de soins (cours de sport, massages, manucure etc). Séjourner ici est une expérience exclusive comme on en trouve peu au Pays Basque. C’est l’assurance de voir Biarritz autrement, depuis un belvédère flamboyant, plein de secrets et d’histoires. Un pièce de patrimoine unique qui vient de reprendre vie à quelques pas du centre-ville et du bord de mer.
Photos: Anik Labreigne
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Tourisme : La Nouvelle-Aquitaine au beau fixe !
Une fréquentation plus élevée qu’en 2017. Déjà ravies des chiffres du tourisme l’année passée, pour 2018, les offices de tourisme sont plus qu’heureux. C’est la clientèle étrangère qui accentue au mieux l’activité touristique de la région Nouvelle-Aquitaine, et plus précisément les espagnols et les anglais. De plus, d’autres pays sont venus profiter de la région Bordelaise notamment l’Allemagne (+9%), le Canada (+8%), le Japon (+26%), l’Australie (+19%), le Brésil (+3%), Israël (+46%), l’Afrique du Sud (+8%) et l’Argentine (+21%). Les offices de tourisme ont perçu une augmentation de 24% des touristes étrangers par rapport à 2017. Les voyageurs ont donc bravé tant bien que mal les intempéries et les grèves pour se reposer dans la région du Sud-Ouest. Le trafic de l’aéroport de Bordeaux-Mérignac a également connu son pic début 2018 : +5% de trafics aériens de plus qu’en 2017 et puis les hôtels : +1% de chambres louées.
Les touristes étrangers sont donc ceux qui ont accentué en masse le tourisme en Nouvelle-Aquitaine (+24%) contre 14% en moyenne pour les touristes nationaux. La région du Sud-Ouest continue sa montée en tant que région préférée des français. (nommée en 2017)
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Cdiscount se lance dans le voyage avec MisterFly
« Nous serons les moins chers du marché! » Cdiscount se lance dans le tourisme. La filiale du groupe Casino a signé un partenariat avec la plateforme digitale de réservation de billets d’avion et d’hébergements Misterfly. Chaque semaine une sélection de vols, d’hébergements et de séjours seront mis en ligne. Après une étude sur les « Français et leurs voyages », c’est tout naturellement que Cdiscount a compris que le secteur du tourisme était un produit phare, sachant que les Français se servent d’Internet pour programmer leurs vacances. Selon la Fédération du e-commerce et de la vente à distance (Fevad), en 2016 le marché du voyage a réalisé 20,1 milliards d’euros de volume d’affaires sur Internet, l’e-commerce a donc sollicité 44% du marché du tourisme.
Misterfly, crée en 2015 est une plateforme qui collabore avec Carrefour Voyages, Ventes Privées, et entre autres, Thomas Cook, l’agence de voyage. Cdiscount rajoute une nouvelle corde à son arc en s’imposant avec un nouveau partenariat. La filiale du groupe Casino est le deuxième acteur du commerce en ligne, derrière Amazon et compte pas moins de 20 millions de visiteurs uniques par mois, 9 millions de clients différents et enregistre 100 000 commandes par jour.