Catégorie : où partir un week-end en France

  • Où partir en week-end près de Paris ?

    Où partir en week-end près de Paris ?

    Où partir en week-end près de Paris ? C’est LA question que se posent bien des Parisiens. On hésite sur la destination à choisir et surtout, sur l’option la moins chère pour loger notre bande d’amis / famille… Avec leurs villas à louer spécialement pensées pour recevoir, SoVillas vous apporte la réponse.

    « Piscine intérieure », « terrain de foot », « entre 20 et 30 personnes », « adaptées pour Papy & Mamie »… Sur le site de SoVillas, les catégories de villas à louer se suivent sans se ressembler. Le concept est simple, proposer des grandes villas à louer, avec la garantie d’y passer de super moments entre amis. Pour le moment, vous trouverez sur leur site des domaines dispersés à travers 3 régions de France : la Bourgogne, la Normandie et le Val de Loire.

    Des villas parfaites pour faire la fête

    Ce qui change des autres plateformes de location de vacances ? Les cofondateurs de SoVillas (anciennement Crazy Villas) sont propriétaires des maisons qu’ils louent. Ils ont pensé leurs villas comme des lieux de vacances « so cool ». Concrètement, ça veut dire : des voisins éloignés de 150 m à 2 km, de nombreuses activités, des domaines pouvant accueillir jusqu’à 60 personnes, et un service de conciergerie. Alexandre Martucci et Aurélien Boudieront ont travaillé l’agencement de 31 villas situées à moins de deux heures de Paris. Les espaces de vie sont ainsi très accueillants, sans oublier d’être pratiques, à la fois confortables et modernes. Visiblement, chez SoVillas, on sait recevoir. La start-up propose des villas 100 % adaptées aux fêtes de famille, anniversaires, séminaires, EVG ou EVJF… De quoi organiser l’escapade parfaite avec vos proches !

    À partir de 35 € par nuit /personne

    Plus d’infos ICI
    Clotilde BOUDET

  • Hôtel La Prison

    Hôtel La Prison

    L’Hôtel La Prison porte bien son nom. C’est le premier hôtel-prison du pays ! Il vient d’ouvrir ses portes, au début du mois de juin, dans l’Hérault, à Béziers. Un hôtel insolite en France, que l’on doit au groupe Mando Hospitality.

    Il y a encore une dizaine d’années, les 90 cellules de l’ancienne maison d’arrêt de Béziers étaient pleines de détenus. Celle que les locaux surnomment « le Château » a été une prison fonctionnelle de 1867 à 2009, année où elle ferma ses portes. Quelque 8 millions d’euros d’investissements plus tard (le projet est soutenu par le Fonds Tourisme Occitanie et la BPI), les geôles se sont débarrassées de leurs barreaux. Vous aimez les hôtels insolites ? En voilà un !

    Un bâtiment du XIXe réhabilité

    L’ancienne prison biterroise, installée proche de la cathédrale Saint-Nazaire, se trouvait dans un bâtiment du XIXe siècle. Il aura fallu 18 mois de travaux pour le réhabiliter. L’idée de dormir dans une ancienne prison peut paraître saugrenue, mais le site à bien quelques atouts pour vous convaincre. Déjà, la bâtisse historique offre une vue panoramique sur le Canal du Midi, la Méditerranée, le Canigou et l’arrière-pays. Ensuite, finies les cellules de moins de 10 m². L’hôtel-prison compte 50 chambres au design minimaliste, divisées en sept catégories : cellule standard, cellule, confort, cosy, triple, atypique, Suite familiale. Les « standard » mesurent entre 13 et 14 m², les « cosy » entre 24 à 43 m² et la Suite fait 66,5 m².

    À l’Hôtel La prison, un bistro surplombe désormais l’Orb. Le Chef Mathieu Bessière vous y fait découvrir les produits locaux, assaisonnées de sa créativité et d’une pointe de modernité. Aussi, un couloir de nage permet aux clients de faire trempette. Des salles de réunions et une salle de sport complètent l’offre… Il est loin le temps de la surpopulation et des privations de liberté. Pourtant, le lieu ne laisse aucune place au doute. On pénètre dans une prison et son histoire, qui remonte au XIIe siècle, n’a pas été effacée. Ainsi, quelques graffitis d’anciens prisonniers perdurent et par endroit, on retrouve les barreaux en fonte d’origine. De quoi se souvenir que l’on passe un séjour dans un hôtel insolite… Une expérience à part entière, qui ne laissera personne indifférent.

    À partir de 70 euros la nuit (basse saison).

     

    Pour en savoir plus, rendez-vous sur www.hotellaprison.com
    Clotilde BOUDET

  • Les Maisons de Léa

    Les Maisons de Léa

    Le premier établissement Radisson Individuals vient d’ouvrir en Normandie. L’hôtel 4* Les Maisons de Léa s’est installé au cœur de la Cité des peintres.

    Honfleur est l’une des plus jolies stations balnéaires de France ! Ce boutique-hôtel vous y accueille, à seulement 150 mètres du vieux port, face à l’église historique Sainte-Catherine. À la foix luxueux et authentique, il se compose d’un bâtiment principal datant du XVIe siècle, ancien grenier à sel, et de 5 maisons adjacentes de construction plus récente. Les logements comprennent la « Petite Maison » de 3 étages, datant du XVe siècle, ainsi que la « Maison du Jardin », une ancienne école maternelle qui abrite aujourd’hui l’espace de réunion et d’événements. L’établissement dispose au total de 43 chambres et suites. Toutes sont spacieuses, décorées pour être des cocons cosy et sereins aux allures rustique-chic.

    Le terroir mis à l’honneur

    La sérénité, on la retrouve dans l’Univers Spa by Thalgo. Cet espace propose de nombreux soins et rituels, abrite un hammam et une tisanerie. Les infusions, c’est pour la détente. Pour les gourmands, il y a Tourbillon, le restaurant des Maisons de Léa. Œufs du Pays de Caux, huîtres de Blainville-sur-Mer, homard, viande de bœuf normande… Les délices de la région y sont servis au coin du feu, ou sur la magnifique terrasse de l’hôtel.

    Pour en savoir plus, rendez-vous sur www.lesmaisonsdelea.com.
    Clotilde BOUDET

  • Tourisme durable : la Route des Vins de Bordeaux

    Tourisme durable : la Route des Vins de Bordeaux

    Depuis le 13 avril dernier, la Route des Vins de Bordeaux en Graves et Sauternes prend le virage du tourisme durable en mettant le cap sur le bas-carbone !

    Envie de vous lancer sur la Route des Vins de Bordeaux ? Ouvrez l’œil pour les Bulles Vertes ! Ces éco-stations de service propose des circuits touristiques durables et inclusifs accessibles en mobilité douce partout en France. L’objectif ? S’attaquer à la problématique du « dernier kilomètre », celui qui sépare les gares des châteaux, hébergements et autres adresses touristiques. Vous découvrez le Bordelais et voulez visiter les châteaux de Carbonnieux (AOC Pessac-Léognan), de Portets (AOC Graves) ou encore de Sigalas-Rabaud (AOC Sauternes) sans polluer ? Les Bulles Vertes sont là pour vous ! Elles proposent des solutions alternatives à la voiture pour rejoindre 8 châteaux viticoles emblématiques de la région.

    Entre Bordeaux et Langon, le voyageur épicurien peut donc profiter pleinement d’un séjour œnoculturel dans les châteaux, restaurants et hébergements de ce joli coin de France. À vous les balades thématiques à pied ou en vélo électrique… de quoi profiter d’une escapade insolite au cœur du vignoble bordelais. 

    Pour en savoir plus, rendez-vous sur www.la-bulle-verte.com
    Photo de Une : image d’illustration © Douglas Lopez / Unsplash
    Clotilde BOUDET

  • Le Loiret en bateau

    Le Loiret en bateau

    Parce que les vacances en France ont la cote, nous avons testé un moyen original de parcourir les campagnes de l’Hexagone. Grâce à Locaboat, nous avons embarqué un week-end sur une pénichette pour découvrir le Loiret en bateau. Récit et impressions sur un mode de voyage encore méconnu, mais qui a de plus en plus de succès.

    Texte & Photos : Lucas Lahargoue

    Notre expérience commence à Briare. Après seulement deux heures de route depuis Paris, nous arrivons dans cette bourgade tranquille du Loiret posée entre champs et forêts. Briare est un carrefour fluvial important en plein centre de la France. Le canal éponyme permet de relier la Loire à la Seine sur 54 km depuis 1642 ! C’est même l’un des plus anciens canaux de France.

    Plus tard, en 1838, un second canal est inauguré. Celui-ci descend de Digoin en Bourgogne, et longe le cours de la Loire jusqu’à Briare. C’est lui que nous allons remonter, lentement, au rythme de notre pénichette. Nous montons à bord au niveau de la base Locaboat, située à quelques rues du centre-ville, sur un vaste plan d’eau. L’endroit est idéal pour s’exercer et tenter quelques manœuvres. Ce type de bateau est sans permis mais son pilotage nécessite un peu d’adaptation au début. Une fois l’engin bien pris en main, nous filons vers le nord. Il faut d’abord traverser Briare et son petit port de plaisance pour remonter la rivière Trézéé sur quelques kilomètres. Plus on s’éloigne de la ville, plus le silence prend de la place. Le cours d’eau se faufile dans un décor boisé jusqu’à l’écluse de la Cognardière. Commence alors le canal Latéral à la Loire.

    Voguer dans la campagne

    Il fut un temps où il était nécessaire de traverser la Loire pour atteindre le canal latéral. Depuis 1896, un magnifique pont-canal enjambe le fleuve et facilite la navigation. Long de 662 mètres et large de 11,5 mètres, il est signé de l’architecte Léonce-Abel Mazoyer et fut déclaré d’utilité publique. Il était même le plus long au monde jusqu’à ce qu’un second ouvrage de ce type, plus long, ne soit inauguré en 2003 en Allemagne. Une fois traversé ce monument historique, notre pénichette poursuit sa route en glissant lentement sur les eaux impassibles. Le décor se dépouille progressivement.

    Nous faisons halte en pleine nature pour un pique-nique improvisé sur notre terrasse panoramique avec les victuailles que nous avons emmenées ; du melon dans les assiettes, du rosé dans les verres, nous respirons à pleins poumons les charmes de la campagne française en été. En continuant notre route vers le sud, on croise le petit port de Châtillon-sur-Loire. Les écluses s’enchainent. Elles sont 37 disséminées sur les 196 km du canal latéral à la Loire. Beaucoup sont automatiques et actionnées par des mécanismes électroniques. D’autres sont encore manuelles et des éclusiers sont toujours là pour tourner les manivelles, comme dans l’ancien temps. Inutile d’être pressé lorsqu’on navigue sur un canal ! Voilà un bel exemple de « Slow Tourism ». L’art de visiter, de se promener en prenant tout son temps.

    INFOS PRATIQUES


    Y aller :

    Le canal latéral à la Loire traverse plusieurs départements, de la Saône-et-Loire au Loiret. La portion que nous avons parcourue est à moins de 200 km de Paris. Il faut moins de 2 h de route sur l’A77 pour rejoindre Briare depuis la Capitale.

    Avec qui y aller :

    Locaboat est le spécialiste des croisières fluviales depuis 1977. La société a une flotte de 380 bateaux sans permis et plusieurs bases sur les canaux de France. L’une d’entre elles est à Briare. Les tarifs correspondent au prix de location d’une embarcation, peu importe le nombre d’occupants à bord. Compter à partir de 945 € la semaine, ou à partir de 200€ pour un week-end seulement. Tous les tarifs sont indiqués sur le site internet. Ils évoluent en fonction de la taille du bateau et de la période choisie. Nombreuses offres sont valables en ce moment, pour 2020 et 2021.
    locaboat.com

    Technique: Les pénichettes Locaboat :

    Plusieurs modèles de bateaux sont disponibles chez Locaboat. Le plus petit mesure 9,30m. Il contient une cabine et un lit simple. C’est un bateau idéal pour un couple. D’autres modèles comme celui sur lequel nous étions sont plus grands. Il peuvent disposer de trois cabines et donc accueillir jusqu’à 12 personnes. Le modèle Flying Bridge par exemple a l’avantage d’avoir un poste de pilotage à l’intérieur, et un second à l’extérieur pour pouvoir conduire au grand air. Nous avons aimé aussi sa terrasse qui permet de profiter du soleil et des paysages, ainsi que de déjeuner et dîner au grand air si la météo le permet. Aussi, ce grand modèle possède un propulseur d’étrave qui facilite énormément la navigation, notamment dans les virages et dans les écluses.

    À lire
    La France au fil de l’eau / Guide du tourisme Fluvial, Petit Futé 2019/2020

     

  • Hôtel Capelongue

    Hôtel Capelongue

    Le décor du dernier-né du groupe Beaumier est signé par Jaune Architecture. Lavandes, oliviers, cyprès et garrigue… L’hôtel Capelongue s’inspire des sublimes paysages du Luberon dans lequel il s’est implanté.

    C’est au coeur du charmant village de Bonnieux, dans le Vaucluse, qu’a ouvert l’année dernière cet hôtel chic et rustique. Son voisin le plus illustre ? Le Mont Ventoux. Il s’offre aux regards des visiteurs, surplombant une nature vivifiante, qui invite à s’arrêter, à souffler, à se (re)trouver. Un temps pour soi qu’on prend lors d’un massage, d’un cours de yoga ou d’un après-midi farniente à la piscine. Bien ancré dans cet environnement apaisant et ce terroir généreux, l’hôtel Capelongue compte 16 chambres de plain-pied ou à étage, avec ou sans salon, prolongées d’un balcon ou d’une terrasse. Des espaces sobres et chaleureux, pleins de silence. À La Bastide, le restaurant étoilé de l’hôtel, comme au Café Capelongue, la cuisine est locale. Concoctée par le chef Noël Berard, elle se conçoit « de la terre à l’assiette », brûlante de soleil, entre Provence et Méditerranée.

    Plus d’informations sur www.beaumier.com.
    Photo de Une : © Peter Schulz / Unsplash
    Clotilde BOUDET

  • Roz Marine Thalasso Resort

    Roz Marine Thalasso Resort

    Le 1er mars 2023 les Thermes Marins de Perros-Guirec ont fait leur grand retour avec l’ouverture de Roz Marine Thalasso Resort. C’est une véritable renaissance pour ces Thermes Marins implantés dans les Côtes-d’Armor, face à la mer. Entièrement reconstruit, l’établissement se trouve face à plage de Trestraou. Il offre une vue imprenable sur l’archipel breton des Sept Îles.
    Roz Marine Thalasso Resort est une véritable invitation au voyage et à la poésie. Il dispose d’un accès immédiat à la plage et au sentier des douaniers. De quoi découvrir les merveilles de la Côte de Granit Rose. Avec ses 91 chambres, ce resort flambant neuf a la plus importante capacité hôtelière des Côtes-d’Armor. C’est l’endroit idéal pour un séjour bien-être à Perros-Guirec, station balnéaire historique de Bretagne. L’hôtel propose 72 chambres avec vue mer ou jardin, 14 suites Junior et 5 suites Familiales.
    L’offre culinaire est assurée par le chef Jean-François Coudert dans les deux restaurants de l’établissement: l’Haliotis ou La Suite. Côté soin, vous pouvez choisir entre le Parcours Celtique ou le Parcours Marin. Hammam, sauna, trois bassins d’eau de mer (17°C, 29°C et 37°C)… il y a aussi un Spa avec de 13 cabines de soins. Le Roz Marine Thalasso Resort a développé des programmes de soins de 4 ou 6 jours baptisés « les Immersions », ou des formules de 1 à 3 jours: « les Escales ».
    Plus d’informations sur www.roz-marine-thalasso.com.
    Clotilde BOUDET
  • La Villa Pomade

    La Villa Pomade

    Après trois ans de travaux, la Villa Pomade a rouvert ses portes. Cette demeure de 1921 est située dans les Landes, à 10 minutes de la réserve naturelle d’Arjuzanx. C’est là, à deux pas du plus grand site français d’hivernage des Grues cendrées, qu’Albert Pomade a conçu cette Villa Art Déco. C’est l’une des plus singulières réalisations architecturales de Rion-Des-Landes.

    Les travaux ont permis de rendre son faste d’antan à cette belle maison de famille landaise. Ils ont également été l’occasion d’y intégrer tout le confort moderne nécessaire. La Villa Pomade accueille désormais 8 spacieuses chambres à l’ambiance « années 20 ». Les hôtes découvrent les saveurs landaises au restaurant bistronomique de la Villa, dirigé par le chef bordelais Frédéric Freygefond. Ce petit hôtel de charme est l’adresse idéale pour une escapade dans le Sud-Ouest !

    Plus d’informations sur www.villa-pomade.com.
    Clotilde BOUDET

  • Le Château de Beaulieu

    Le Château de Beaulieu

    En 2021, le chef Christophe Dufossé et son épouse Delphine ont racheté le Château de Beaulieu, à Busnes (Pas-de-Calais). Ils en ont fait un hôtel 5 étoiles Relais & Châteaux. En mars 2022, le couple a reçu sa première étoile Michelin pour leur restaurant gastronomique Christophe Dufossé. 

    Le Château de Beaulieu est un foyer ouvert sur la nature, un écrin hors du temps. Cet hôtel 5* est une destination parfaite pour les épicuriens en quête d’unique. Un restaurant récemment étoilé, une brasserie « Côté Jardin », un jardin aromatique où l’on trouve aussi des fleurs comestibles, un Spa Sothys flambant neufCette demeure du XVIIe siècle a bien des choses à offrir à celles et ceux qui viennent y séjourner. Les chambres sont dispersées entre le château et l’Annexe. D’un côté : de grands espaces élégants et chaleureux, de l’autre : une décoration plus contemporaine, mais des chambres et suites toujours tournées vers la nature. Car à Beaulieu, la nature est partout. Autour du château, derrière les baies vitrées de la « Salle à manger du chef » ou dans les assiettes du chef Christophe Dufossé, qui propose une cuisine éthique et responsable.

    Plus d’informations sur www.lechateaudebeaulieu.fr
    Photos : © Studio Helle / © Christophe Dufossé
    Clotilde BOUDET

  • Fleur de Loire

    Fleur de Loire

    Certaines destinations sont des doubles voyages. Dans l’espace, mais aussi dans le temps. C’est le cas de Fleur de Loire, un Hôtel Restaurant & Spa installé dans une bâtisse historique du XVIIe siècle. Et pas n’importe quel bâtisse, puisque cet ancien hospice a été construit là, au bord du « Fleuve royal », sur ordre du frère du roi Louis XIII. C’est dans ce morceau de l’Histoire de France que le chef écolo et étoilé Christophe Hay a décidé de poser ses valises. Il vous y accueille au cœur de la Vallée de la Loire, à Blois

    Une Maison Gastronomique

    Inauguré le 27 juin 2022, Fleur de Loire est une Maison Gastronomique et un hôtel Relais & Châteaux. Tout un programme… particulièrement gourmand ! En plus d’un hôtel proposant 33 chambres et 11 suites, l’établissement a deux restaurants gastronomiques, un kiosque à pâtisseries, une boutique- épicerie et, pour le bien-être de la clientèle, un spa Sisley ®. Le premier restaurant est une table signature « Christophe Hay ». Le deuxième a été baptisé « Amour Blanc », en hommage à la carpe éponyme. On y découvre le talent du propriétaire du complexe hôtelier, qui se définit lui-même comme un « chef paysan ». Mais qui a dit que la campagne ne savait pas briller ? Christophe Hay possède deux étoiles et une étoile verte au Guide Michelin. À Fleur de Loire, on savoure une « gastronomie durable », tournée vers la terre et la Loire, dans un cadre idyllique.