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Auteur/autrice : lucas
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Dar Mima
Direction le sommet de l’Institut du Monde Arabe. En surplomb du quai Saint-Bernand et de la Seine, Dar Mima est un restaurant marocain ouvert par Laurent Gourcuff et Jamel Debbouze. Il est estampillé Paris Society. La décoratrice Laura Gonzalez a voulu créer un décor orientalo-contemporain fait de marbres, de zelliges, de marqueterie de bois ou de fresques peintes à la main. La carte a été élaborée selon les recette de Fatima Debbouze. La mère du comédien est surnommée Mima. C’est à elle que le restaurant est dédié. Pastillas, tajines, fattouche, man’ouché… tous les plats ramènent au Maroc. Ils sont envoyés par la brigade du chef Julien Chicoisne. Mais l’autre atout de Dar Mima c’est sa magnifique terrasse extérieure et panoramique. Voilà un magnifique belvédère pour déjeuner ou dîner en surplomb du pont de Sully, de l’île Saint-Louis et en admirant même la toute nouvelle flèche de Notre-Dame au loin!
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70 hectares… & l’Océan
Nous sommes à Seignosse. À l’orée des greens immergés dans cette splendide forêt des Landes, l’ancien Golf Hôtel fait désormais partie de la collection des Domaines de Fontenille sous un nom poétique: 70 Hectares… & l’Océan. Entièrement repensé et rénové par le cabinet d’architecture 44 Avril, le voilà plus éclatant que jamais. C’est comme une grande maison de famille en bois, qui aurait éclos d’entre les pins.
Un hôtel en pleine natureLe hall d’accueil nous impressionne d’abord par son espace et sa clarté. Peut-être est-ce dû à sa verrière qui l’inonde de lumière naturelle. On aperçoit déjà des planches de surf multicolores, détail de décoration qui colle avec l’ambiance locale. Nous grimpons ensuite dans notre chambre, la 203. Elle est assez spacieuse et ouverte sur une jolie terrasse couverte, en bois. La vue porte sur la forêt environnante, ces pins majestueux qui se hissent si haut qu’il procurent une ombre salutaire les jours de grandes chaleurs. À leur pieds, nous profitons de la piscine chauffée. Elle est creusée en contrebas de l’hôtel. Quel plaisir de barboter en silence dans cet écrin de verdure. Une fois reposés, plusieurs options s’offrent à nous. Tester quelques clubs sur les fameux 70 hectares du golf voisin, emprunter un vélo pour sillonner la forêt, ou voir la mer.
Une fenêtre sur le largeNous décidons d’aller admirer l’horizon. L’immense plage des Estagnots s’étire à quelques kilomètres à peine de l’hôtel. C’est un infini cordon sableux qui trempe dans l’Atlantique. C’est là le charme des plages landaises : leur grandeur, leur largeur, et cet aspect presque sauvage parfois. Après un dîner simple face au soleil qui se couche, dans la commune voisine d’Hossegor, nous rentrons pour la nuit dans nos pénates habillées de bois vert. Le lendemain, repus grâce à un petit déjeuner frugal sur le deck de la terrasse extérieure, il est temps de partir ; avec une seule idée en tête : revenir.
Photos: Céline Hamelin + MrTripper
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Le Grand Tour de Suisse: un itinéraire idéal
Le Grand Tour de Suisse est divisé en grandes étapes au cours desquelles nombreuses escales sont possibles. Difficile de parcourir les 1600 kilomètres en une fois. Si l’on veut profiter, marquer des pauses, fouiller les plus beaux recoins du pays, mieux vaut prendre son temps. Cette proposition d’itinéraire suit quatre étapes, de Lausanne à Zurich, à écumer en une dizaine de jours.
Texte: Lucas Lahargoue / Photos: Suisse Tourisme
Étape 1: Lausanne > Neuchâtel
1-2 jours
À Lausanne, visitez le Musée Olympique ou le Musée Cantonal des Beaux-Arts, mais découvrez aussi le quartier d’Ouchy avec une promenade au bord du lac. Escale ensuite dans le vieux bourg de Morges, le long des quais et dans la Grand-Rue piétonne.
Dans le parc Jura Vaudois, passez par la vallée des horlogers, les Grottes de Vallorbe, sans oublier de faire un détour par le village de Romainmôtier qui abrite le plus ancien monastère de Suisse.
Achevez cette première étape à Yverdon-les-Bains, après avoir randonnée au Creux du Van ou dans les gorges de l’Areuse.Étape 2: Neuchâtel > Berne
2-3 jours
À la croisée de trois lacs, découvrez Neuchâtel, Bienne, Morat ou le Mont Vully. Ces sites ont tous l’avantage d’être posés au bord de l’eau et offrent de belles vues sur les reliefs alpins qui émergent au loin.
De cette région qu’on appelle le Seeland, Fribourg n’est qu’à quelques kilomètres au sud. Elle peut faire l’objet d’une halte avant de rejoindre la Gruyère, le pays d’Enhaut et Gstaad. Terminez ensuite ce deuxième tronçon à Interlaken, sans oublier de grimper en train au sommet du Jungfraujoch !Étape 3: Berne > Lucerne
1-2 jours
Baladez-vous d’abord dans la vieille-ville de Berne, avant de visiter le palais Fédéral achevé en 1902 et siège du gouvernement suisse. À l’extérieur de la Capitale, le centre Paul Klee mérite aussi une visite. Rendez-vous ensuite dans la Réserve de biosphère de l’Entlebuch en passant par la région de l’Emmental où vous pourrez en apprendre davantage sur la fabrication du roi des fromages.Étape 4: Lucerne > Zurich
1-2 jours
Après avoir vu le vieux pont de bois et la célèbre statue de lion blessé drôlement réaliste, quittez Lucerne vers le Mont Pilatus. Ou alors prenez de la hauteur au Rigi qui dévoile aussi de belles vues panoramiques.
Marquez ensuite une halte à Rapperswil-Jona pour son château qui surplombe la ville et le lac. Vous arrivez enfin à Zurich où il est important d’au moins visiter la vieille-ville. Mais pour finir sur une note sucrée, rendez-vous au musée Lindt Home of Chocolate. Des visites guidées, des dégustations et un magasin Lindt géant vous rappellent que la Suisse est aussi le pays… du chocolat !
>>> Le Grand Tour de Suisse <<< -
À l’abandon
Que reste-t-il après l’homme ? Voilà une question à laquelle essaye de répondre Cal Flyn dans ce drôle d’ouvrage assez passionnant. Alors que certains passent leurs vacances à buller au bord de la mer, la journaliste écossaise a bourlingué pendant deux ans à la recherche des pires endroits du monde; des sites oubliés où l’homme, un temps, a régné. De la ligne verte qui sépare tristement Chypre en deux, à la ville ukrainienne de Pripyat devenue célèbre car vidée de ses 50 000 habitants la nuit de la catastrophe de Tchernobyl, en passant par l’île de Swona dans son Ecosse natale, elle fouille, explore, décrit des paysages désolés où la nature a repris ses droits. On marche avec elle dans les herbes hautes qui reculent devant ses pas. On la suit dans une ville caribéenne en ruines. Partout l’espoir pointe son nez. Parce que partout où l’homme n’est plus, la nature le remplace et la vie triomphe. C’est en tout cas l’idée que ce palpitant récit d’urbex veut faire passer.
À l’abandon, par Cal FLyn (Ed. Paulsen, 2024)
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Voir l’Alsace autrement: nos 5 spots préférés
Parce que Strasbourg, Colmar, Riquewihr ou le château du Haut-Koenigsbourg sont des endroits déjà assez envahis comme ça, il est urgent d’aller voir ailleurs. L’Alsace compte une flopée de pépites, curiosités et expériences moins connues qui méritent un détour. Voici donc nos 5 spots préférés pour voir l’Alsace autrement!
Par Lucas Lahargoue
1) Le pays Rhénan à vélo
Au nord de Strasbourg, le Pays Rhénan est principalement plat ; raison suffisante pour le traverser à vélo. À Fort-Louis, on trouve les restes d’une forteresse construite à la fin du XVIIème siècle par Vauban, sur les ordres de Louis XIV. L’ingénieur star de l’époque a imaginé un fort principal de forme carrée, agrémenté de deux édifices secondaires en pointe. En 1794, les troupes de l’empereur d’Autriche en ont détruit une grande partie mais il reste toujours, à l’entrée nord de Fort-Louis, la carcasse de cette œuvre dont on reconnaît la patte Vauban sur les vues aériennes.
Ensuite, il est facile de remonter le cours du Rhin en pédalant tranquillement au bord de l’eau. On croise l’agréable base nautique d’Offendorf, puis Gambsheim et sa zone de loisirs où un petit restaurant est tenu chaque semaine par l’une des associations du coin. De là, il ne reste qu’à fendre les champs de maïs pendant encore une bonne vingtaine de kilomètres pour atteindre Strasbourg et commencer à voir l’Alsace autrement.
visitpaysrhenan.alsace2) Le musée du pain à Sélestat
Déployé dans les étages de l’ancien siège de la corporation des boulangers, ce musée joliment aménagé présente l’histoire du blé, de la farine, de la pâte… bref, de tout ce qui se rapporte au pain. La muséographie est ludique et contemporaine. Au rez-de-chaussée, un fournil permet de goûter à des bretzels, des pains d’anis ou des kougelhopfs mais aussi de déjeuner sur la terrasse extérieure. L’accueil y est chaleureux et les produits de grande qualité. Escale conseillée, avant de faire un tour de Sélestat à pied. Un parcours baptisé « Dans les pas du lion et du géant Sletto » vous mène de la Commanderie St-Jean à la place Gambetta en passant par la mairie, la Tour Neuve, les remparts Vauban et le quartier des Tanneurs ; une jolie boucle pour écumer les essentiels de la ville.
maisondupain.alsace3) Le MAUSA Vauban à Neuf-Brisach
Une portion des impressionnants remparts de Neuf-Brisach abrite un étonnant musée de street art. Il fait clairement partie de nos 5 spots préférés pour voir l’Alsace autrement. Ouvert en 2018, il a mis une poignée de salles à disposition d’artistes urbains venus s’exprimer librement. C215, El Pez, Dotmaster ou Seth font partie des noms qui ont réveillé les murs décrépits à coups de pinceaux ou de bombes aérosols. Deux longues galeries aux allures d’ancienne prison ont été tapissées de couleurs, de formes, d’écritures et de dessins faisant de ce recoin de la ville un spot assez branché. Depuis, ce Musée des Arts Urbains et du Street Art a ouvert une nouvelle antenne à Bitche en Moselle, et prévoit l’ouverture d’un troisième lieu à Saint-Chamond dans le département de la Loire.
mausa.fr4) L’Abbaye de Murbach
À cinq kilomètres au-dessus de Guebwiller, le hameau de Murbach s’étire dans le creux d’un vallon resserré. On y trouve un magnifique abbaye. Cette fameuse église romane fut l’une des plus puissantes de la vallée du Rhin au Moyen-Age. Les trois nefs furent démolies au XVIIIème siècle pour utiliser les pierres dans d’autres constructions, mais le choeur que l’on visite aujourd’hui est très épuré et d’une rare harmonie. Le matin, grimpez sur le versant nord du vallon, vers la chapelle Notre-Dame de Lorette. Ce promontoire offre un point de vue exceptionnel sur l’abbaye. Enfin, de retour sur le parking d’entrée du village, mieux vaut tendre l’oreille pour peut-être entendre un téléphone sonner. Murbach étant une zone blanche sans réseau, la dernière cabine téléphonique de France y fonctionne toujours ! Elle est même devenue célèbre. Des gens des quatre coins du pays s’amusent tous les jours à l’appeler. Ils espèrent qu’un pékin qui passe dans le coin y répondra et notera leur nom dans un petit registre accolé. Une manière rigolote de créer du lien !5) Près de Mulhouse, l’Ecomusée d’Alsace
C’est le plus grand musée à ciel ouvert de France ! Entre Guebwiller et Mulhouse, ce village artificiel compte des dizaines de maisons traditionnelles alsaciennes sauvées de la ruine. Chacune a été démolie puis reconstruite ici pour former un nouveau village avec ses rues, ses places et ses bosquets. On y trouve une école, une boulangerie, une scierie, des fermes et même un forgeron qui façonne des outils à longueur de journées. Passer une après-midi ici c’est replonger dans la vie d’un village des années 1920 et définitivement voir l’Alsace autrement. Et bien que l’endroit soit artificiel, le visiteur évolue dans une atmosphère assez authentique. Le décor est particulièrement immersif et bien entretenu. De quoi vivre un vrai voyage dans le temps, sans quitter 2024.
ecomusee.alsace -
Le Mas Candille
Un grand portail de fer, une allée pentue bordée d’oliviers, des cigales qui chantent… c’est à travers ce décor enchanteur que l’on pénètre au Mas Candille. Aggripé sur les hauteurs de Mougins, à quelques rues du vieux village, c’est aujourd’hui un hôtel qui renaît. Depuis le 21 juin il reprend vie après d’intenses rénovations. Jean-Philippe Cartier et la famille Courtins-Clarins se sont associés pour reprendre la main et redonner de l’éclat à ce refuge haut perché, d’où la vue porte sur les collines de Grasse. On y entre par le haut, et puis nous dégringolons à travers un lacis de chemins tracés dans la végétation.
Une déco signée Toro
L’ensemble a été repensé par Hugo Toro. Le jeune architecte et décorateur déjà reconnu dans le monde entier a voulu « redonner à l’hôtel une véritable allure de mas provençal, tout en y ajoutant une touche américaine pour le faire aussi ressembler à une grande villa californienne ». Il a créé des chambres et suites lumineuses, enveloppantes et pleines de chaleur. Les moquettes et rideaux ont été peints par ses soins avant d’être reproduits, le mobilier de chêne teinté sort aussi de son imagination et lui-même a chiné tous les objets éparpillés en guise de décoration. Les restaurants aussi sont plutôt chaleureux. Il y a celui de la piscine d’abord, où sont servis des plats principalement froids mais aussi quelques pizzas à l’heure du déjeuner. Plus bas, la Table des Pins est le restaurant gastronomique ouvert à l’heure du dîner. Le chef Romain Antoine y propose un éventail de la cuisine méditerranéenne, à base de produits qu’il déniche chez des producteurs locaux.Une adresse bien-être
L’autre atout de ce Mas Candille entièrement rénové, c’est The Glow House. Au bout d’une allée qui serpente entre les palmiers, surgit ce spa d’un nouveau genre. Clarins inaugure ici un concept où les soins, le sport, la détente et la nutrition ne font qu’un. Hugo Toro a créé ce spa de toutes pièces. Il se compose d’un édifice avec la réception, les vestiaires, une salle de fitness et quatre chambres de soins toutes ouvertes vers l’extérieur ; et plus bas d’un second bâtiment, éco-responsable, où l’on trouve un hammam, un sauna, et une piscine de 25 mètres, chauffée à l’année, qui se prolonge vers l’extérieur. Parallèlement aux couleurs chaudes insufflées par le jeune décorateur, l’identité Clarins est aussi là, mais subtilement amenée, par touches légères. Le groupe a dressé une carte de soins riche, qui fait la part belle à des formules exceptionnelles, conçues à partir d’extraits de plantes puissants et d’huiles essentielles haut de gamme. De quoi recharger nos batteries en écoutant chanter les cigales.
Photos: Mathieu Salvaing
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Le Chud Thai bientôt à l’Unesco?
Chud Thai. Ce nom fait référence au vêtement traditionnel thaïlandais. Il ne s’agit pas d’une tenue de tout les jours. Cet habit est porté lors des cérémonies formelles, des fêtes, des cérémonies religieuses ou des événements particuliers. En effet, il existe nombreux modèles, qui diffèrent en fonction du statut social de celui qui le porte, de ses fonctions, ou de la région dans laquelle on le trouve. Les hommes ont le leur, les femmes aussi. Tissus drapés, longues robes, hauts ornés de broderie… la plupart des pièces du Chud Thai sont confectionnées en soie, et sont d’une rare finesse.
Le Chud Thai pourrait rentrer à l’Unesco
L’état thaïlandais, fier de ce patrimoine, vient de lancer la démarche pour l’inscrire sur la liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l’humanité de l’Unesco. L’intitulé du dossier est: « Chud Thai: Connaissances, savoir-faire et pratiques du costume national thaïlandais ». Ce vêtement est si important pour la nation du Royaume de Thailande que les autorités souhaiteraient l’ériger au rang de patrimoine du pays. La Reine Sirikit avait déjà oeuvré, dans les années 60, à faire du Chud Thai un habit remarquable. C’est elle qui avait travaillé avec des créateurs de mode et des chercheurs pour créer une série de vêtements adaptés à la vie moderne. Aujourd’hui, la princesse Sirivannavari Naritana Rajakanya reprend le flambeau. Elle participe à la protection des techniques de fabrication ancestrales et veut en faire un habit écologiquement durable. -
Dar Tantora
Al Ula continue sa transformation. La destination n°1 d’Arabie Saoudite n’en finit pas d’évoluer. De nouvelles adresses ouvrent leurs portes comme Dar Tantora. Ce boutique-hôtel écologique de 30 chambres est niché au coeur de la vieille ville, véritable labyrinthe de maisons en terre crue du XIIème siècle. Cette nouvelle propriété est elle-même en terre, construite avec les techniques architecturales traditionnelles. Une piscine a quand même pu être construite, ainsi qu’une salle de sport, un studio de yoga et de méditation, un spa, un café et un restaurant.
Mêler patrimoine et confort
La nuit, l’hôtel est éclairé à la bougie, et il utilise les système de ventilation d’origine, qui ont été restaurés. L’architecte égyptienne Shahira Fahmy qui s’est chargée du projet fait d’ailleurs partie des « architectes qui construisent l’avenir arabe ». Elle a eu à coeur de préserver l’aspect patrimonial du lieu tout en faisant de Dar Tantora une adresse moderne et confortable pour des visiteurs du monde entier qui accourent de plus en plus nombreux à Al Ula, véritable merveille en plein développement.
>>> dartantora.co
Photos: Maxime Seltenrijch -
Biarritz Basque
Depuis leur création en 1994, les éditions Assouline mystifient des lieux, des villes ou des pays dans une collection de beaux livres qui donnent une part importante à l’image. Biarritz fait partie des nouvelles parutions. La cité balnéaire la plus chic de la Côte basque où l’on trouve de jolies adresses se donne à voir dans ce beau et lourd objet de 290 pages. Il est introduit par un éloge de la ville écrit par Frédéric Beigbeder. Ce court récit est en anglais, tout comme les citations qui ponctuent l’ouvrage. Le reste n’est qu’images, belles photos de Biarritz ou d’autres coins proches de la ville, qui reflètent l’âme et la culture de ce petit bout de littoral Atlantique. Tout y est montré : le surf, la mode, l’architecture des maisons locales, des artisans, des pêcheurs, des montagnes et la mer surtout. Tout ce cadre qui a pu faire dire un jour à Victor Hugo : « Je ne sache pas d’endroit plus charmant et magnifique que Biarritz ».
Biarritz Basque
Ed. Assouline
(2024)
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Renaissance Aix-en-Provence
Envie d’une escapade culturelle à Aix-en-Provence? L’hôtel Renaissance est l’adresse la plus indiquée où poser vos valises. Situé à quelques rues centre-ville, tout près du Grand Théâtre, cet hôtel du groupe Marriott est doté de 133 chambres et suites, toutes spacieuses et lumineuses. Leur décoration utilise des références provençales mais qui sont amenées subtilement, de façon contemporaine. Si l’on omet son restaurant Atmosph’R, son lobby-bar baptisé l’Avant-Scène ou son spa Esthederm, il faut dire que ce beau cinq étoiles est l’endroit indiqué pour se rendre sur les événements artistiques de la ville. À chaque Biennale, l’établissement se transforme en galerie d’art contemporain. Il est surtout proche du Centre d’art Caumont où est présentée la belle exposition Bonnard et le Japon jusqu’au 6 octobre, puis l’exposition du photographe américain Steve McCurry qui sera visible du 8 novembre au 25 mars 2025.
